Des performances au rendez-vous
Les nouvelles technologies moteur ont permis de franchir un cap en matière de performances des camions GNL. Le Volvo FH Aero GNL, par exemple, offre aujourd’hui des performances et une autonomie comparables à celles d’un camion diesel. Avec ses moteurs puissants de 420, 460 ou 500 chevaux, il garantit un niveau de productivité équivalent à celui d’un Volvo FH Aero diesel de même catégorie.
Des coûts de carburant en baisse
Autrefois, le coût du GNL était freiné par les investissements lourds nécessaires aux infrastructures de liquéfaction. Aujourd’hui, la donne a changé : une offre mondiale excédentaire et des politiques favorables au GNL ont fait chuter les prix à des niveaux historiquement bas en Europe. Selon l’Agence internationale de l’énergie et la Commission européenne, cette tendance devrait se poursuivre dans les années à venir. Nos clients constatent déjà une baisse sensible de leurs coûts de carburant après avoir opté pour le GNL.
Un cadre réglementaire porteur
Le soutien de l’Union européenne est un véritable moteur pour le développement du GNL. En visant une réduction des émissions de CO₂ et un renforcement de la sécurité énergétique, l’UE accélère l’expansion du réseau de stations-service GNL — un levier essentiel pour favoriser l’adoption de cette solution. L’objectif est ambitieux : passer de 850 à 2000 stations à l’échelle de l’Europe. Dans le cadre du programme LNG Blue Corridor, des corridors GNL se déploient le long des grands axes européens. Une liste actualisée des stations existantes est disponible en ligne, et de nombreux nouveaux sites sont en cours de construction ou de planification.
Une solution taillée pour le transport longue distance
Sur le plan environnemental, le constat est clair. Si les camions électriques sont parfaitement adaptés aux zones urbaines et aux transports régionaux, le GNL représente déjà une véritable alternative au diesel pour les trajets longue distance. Le Volvo FH GNL, par exemple, permet de réduire les émissions de CO₂ de 20 à 25 % par rapport à un modèle diesel équivalent. Et avec du bio-GNL, il est même possible d’atteindre une neutralité carbone totale. Bien que le bio-GNL soit encore moins répandu et plus coûteux à produire, il suscite un intérêt croissant : il permet de réduire encore davantage les émissions de CO₂, de NOₓ et de particules fines. Autre atout : le bio-GNL peut être produit localement à partir de déchets organiques ou de biomasse agricole, réduisant ainsi les coûts et l’empreinte carbone liés au transport.
Un engouement croissant
Ce n’est donc pas un hasard si de plus en plus d’opérateurs de transport envisagent le GNL comme une alternative durable et rentable.
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